vendredi 25 septembre 2015

L'automne séme sa cause

La saison que voilà est venue, sans pardessus, ni soleil.
Cette manie qu'elle a de venir dans le dédale des ans.
Elle est un peu froide, lunatique, nuageuse. Elle est floue dans une série de petites pluies. Elle cache le soleil qui va loin dans la discrétion. Elle est fraîche de nuits, tiède de jour et sommeille doucement dans nos pensées nostalgiques. Elle réduit les jours et fume des feuilles mortes.
Elle a des brumes et des vagues. Elle a une âme grotesque qui paresse.
Elle endort le monde dans des façons de rendre ombre. La lumière diminue avec elle. Elle donne une fin de jour à nos envies. Des feuilles vont rougir, d'autre jaunir, ça change dans des couleurs, ça range dans l'humide. Les lumières décroissent et l'ombre belle grandit dans des après midi qui n'ont plus de midi qu'un souvenir indécis. Les matins sont blancs d'intentions. Le soir se lève. Le jour est court. L'odeur est de glace.
La vie glisse dans une malice d'opium.

mercredi 23 septembre 2015

La ville est vice

La ville terrible mine tout, enferme, c'est un endroit merde, à ne rien croire, à ne rien voir. La ville est seule comme une agonie, dans sa ligne d'armure d'immeubles sinistres coincée dans un creux immense, profond comme un caveau neuf signe une portée d'obstacles qui pousse à rien toute intelligence sensible.
La ville a une vieille habitude dégradante, de normes, d'habitudes et de morts ancrées toutes vives à vivre dans la douleur du cœur.
La campagne va en vrac balancer sa verdeur par le ciel à coups de lourds nuages et d'une pluie forte comme des acclamations.
La ville flotte sa torpeur de noceurs dans des décombres d'âmes éventées. Les rues sifflent leur bêtises de catacombes dans le dérangement. Tout puant et bruyant du monde bousculé fait la marionnette des vivants morts depuis des lustres. L'éclairage mort plus cru qu'une lune qui fait sa pute, isole la vie plâtrée d'une blancheur crâneuse.
Les gens crabes de terre marchent à l'envers avec la métromanie de moutons pourris d'obéissances.Les peurs marquent leur pas d'une indécence flamme.La ville est un fruit des peurs concentrées, elle se plaît dans le marasme du macadam produit de nuits cuites.
Les esprits goudronnés chagrinent de fatigues la poussière des surprises.La ville vrille sa vitalité digestive en toute cécité, champignonnés de tours spectrales plus minables les unes des autres de bétons éhontés. La mort forte d'artifice a fait son œuvre et couvre sa sépulture d'annonces de nouveautés.
La ville pue comme la somme due par cruauté calculatrice.

mercredi 16 septembre 2015

La route est faite de doutes

La vie est une poudre qui s'insinue dans la nuée de mes rêves. Je vais doucement dans la pente. Il y a de la beauté qui m'accroche. Des années qui effacent mes espérances me laissent flottant comme un derviche à bout d'envols. Je respire à pleine bouche la portuaire attente auprès de la marinade de mes fièvres. j'ai beau tomber et m'effrayer, il y a dans mes yeux une lumière tendre. J'aspire la poussière des magasins d'entrepôts et les relents des flaques croupissantes sur les vieux pavés luisants et dénués d’intérêts depuis qu'hier m'a lancé dans une veille course jusqu'au bout de l'horizon !
J'ai dit dans des pas fatigués que l'horizon est mieux qu'une prison de crispations, j'ai dit de mon visage en glace que le temps m'escortait maintenant dans une brièveté lancinante.
J'ai mis à temps le silence de mes rancœurs dans la besace des oublis, j'ai mis en écoute l'attitude perçue de mes oiseaux de nuit.
Je veux faire du beau avec l'entourage des contraintes et le peu de chose qui pousse ma peau à prendre
la lumière dans un jardin dépeuplé.
Je navigue dans une vieille rage et des peurs cataclysmiques. En abandon, l'ivresse fait des singeries dans l'embarcation des dérives.
Au tournant des vieillesses je blanchis avec des mots flottants comme des troncs bonhommes dans une solitude décisive.
Je me fais la banalité de rire de ce que je ne peux trancher.

samedi 12 septembre 2015

Presque seul

J'étais à la rue comme un emporté de la vie, comme un chien évadé, comme une solitude qui plane bas pour vivre un peu au son du caniveau. J'étais presque seul, toujours une amie dans ma marche, toujours une parole qui vibre, toujours sa part qui fait signe et un sommeil commun dans les recoins d'ombres.
Elle avait un âge  de vieux marin fini à terre, une face masse, une voix profonde venant des gorges dépotoirs.
J'étais presque seul, perdant et sans laisse. Elle avait toujours une parole qui venait comme un passe temps dans l'ample rue qui ne désemplit pas de torpeurs.
J'étais presque seul parce qu'à côté d'elle, rien ne la touchait de près, elle parlait avec une défense du corps, une raideur persistante, une sale manie salutaire dans la rue...
Elle disait les trucs qui lui venaient dans les hallucinations respirantes pour voir le monde autre à travers de fumeuses envies et les emportements réglés par le vin bien bu et des sommeils d'ivresses.
J'avais un habit noir, une peau tendre et un cœur absent.
Elle me parlait pour tromper sa solitude avec la mienne. Elle trimbalait sa vie dans le dédale de déboires que rien ne parvenait à éclairer.
Machinale et avec un aplomb de dur à cuire, elle s'appuyait d'adresses et de gens humains et ouverts comme des chercheurs d'anges.
Mais entre deux rencontres de ravitaillement, de survies des apparences, il n'y avait pas d'humanité ni de dieux à deux sous à voir dans la pénombre des marcheurs porteurs de fracas.
Juste une misère étalée comme un étendard d'une armée défaite, un relief de silhouettes lourdes qui prennent soin de partir.
 Des fantômes trop vivant pour être prier.
Ma rancœur fortifiée dans l'idylle de la rude vie de la rue me poussait à neuf comme un poisson sorti de l'eau et qui découvre une façon de vivre dans le tourment terrestre et la lumière crue.
J'avais bonnement des écailles sur ma peau de fuyard. La mer m'avait jetée sur le rivage des sauvages.
J'étais hargneux dans une confusion d'exigences. Des souvenirs puissant comme des pelleteuses me creuser la tête d'écarlates effusions. J'avais des cris et des revendications. J'allais dans les jardins, les herbes et les caillouteux espaces.
Mon amie parlementait avec sa folie et ma défiance en lançant sa gaité outrée vers les étoiles que la nuit de la ville cache si bien, cela se faisait dans des froids et des coins reculés.
J'avais des pas à faire sur le macadam si dur et ferme comme une pierre tombale.
Je parlais jamais sans faire longuement silence histoire de me brouiller avec le monde.
Mon amie vivait bien d’aumônes et de saouleries.
Sa voix gravée de mortalités accusés était de tous les avertissements. Elle bombait ainsi sa fierté d'être dans la déchirure.
Elle m'a tenue la main, juste avec son ombre étendue et son débit de dire.
Aujourd’hui je dis ça alors que j'oublie tant. Parce que merci parfois.
C'est ainsi que dans des soirs et des temps arrêtés, ma crapuleuse manière de penser s'apaise.
Vaporeuse la ligne du temps traverse mon crâne encore belliqueux.
J'avale au passage mille cadavre pour ressusciter dans une beauté courte cette aide inespérée et étrange, cet escorte sans lendemain dans un brouillard d'une jeunesse entêtée.
Aujourd'hui mon cœur vit dans le pourtour de ce qui m'a fait.
Mon présent est une présence des autres dans une multitude de sensations.
Je porte tout le vécu de mon âme.

jeudi 10 septembre 2015

vie

Il y a une musique au cœur des choses et des environnements. il y a de l'impalpable qui passe. Il y a des courants de vies puissant de silences. Il se peut qu'un peuple autour de nous nous entoure. Notre condition est étrange, beaucoup de choses dérangent considérablement nos manières de vivre. Peut-être sommes-nous pas seuls et nos interrogations agacées vont trouver des apaisements lointain dans des échos transformateurs.
Notre petitesse et la rudesse des vécus sont des appels à élargir notre conscience de rêves, d'imaginations et de perceptions à chercher en nous et nos métamorphoses.
L'identité mouvante n'est pas qu'une perdition.
Des innovations, des créations se font dans le feu des urgences. Nous pouvons nous créer autre au bord d'une route vide.Nous dessiner d'intentions dans des actions du quotidien.
Je demande ce que la vie veut dans le peu des choses qui ont un sens.
Je croise ma vie comme une amie. Le pas de côté donne un relief.
Prendre appui de confiance, poser sa sensibilité.
Tant pis si du monde la bafoue, la société bête est manifestement de sortie.
seul alors comme un hasard qui va sur terre.
Reste à creuser sa source pour se baigner dans la profondeur sans soupçons qui peut-être nous rendra grâce dans un art et une beauté.
Mon cœur fondant a besoin de la nouvelle lune pour croître.
Ma vie est une amie qui pousse sa portée musicale dans la charnière des existences.
Ma vie a un pouvoir d'ombres. Je me ressource.

mercredi 9 septembre 2015

Immensement doux


Oh les âmes, le ciel est ouvert et nos cœurs malicieux de chamanes savent les sources et les escalades délicieuses !
Troubadours et roublardes nos certitudes ne sont que des murs amovibles dans le désir indicible de nos intentions lumineuses...
Nos peuples sont de rencontre, nos folies dansantes et libératrices comme des surprises vives et frémissantes...
ébullitions de nos vibrations, nos cellules de nos corps de terre sont des passages ou vivent mille passés et une éternité de présences.
ô cœurs courant dans l'envolée, la chevauchée des intentions percutantes.
La vie danse dans les cours de nos folies réconfortantes.
Je suis fou comme un bien aimé.
J'ai un repos foudroyant à vivre dans la plus profonde de mes peurs.
Je suis de la terre comme une graine semée par la splendide âme élégante et étendue comme un univers de découvertes.
"infini" dit le savant foudroyé.
Je vais là ou le vent m'envole.
J'ai le souffle d'un volcan et la dureté des enracinés.
J'ai des rougeurs circulantes.
A deux pas de rien je vais placide dans le vide et l'écho des âmes amies qui font des rondes si lumineuses, si perçantes, que je chavire d'égarements dans une lenteur habitée et plaisante.
J'ai le cœur ouvert comme une peinture à faire du neuf.
Des mains viennent et sont des sources de flammes pour faire le cœur solide.
Le feu vient de soi comme la splendeur solaire, magnificence de nous dans le quartier chaud de la gentillesse exquise.
Le diamant est dur comme un silex, une arête montagneuse ou souffle la dynamique fantastique des fortunés fous.
La nature coule en nous, suffit juste de faire un pas de côté pour fondre sur le firmament et naître étoile... 

Je suis traversée

Au vieux venin que porte la terre dans la déambulation je vais avec un cœur léger semer une clémence qui me vient d'un été lointain peut-être au-delà de tout souvenir et dans un goût d'aspiration de vivre neuf dans une beauté intérieure.
Je reçois d'un instant une lumière et une douceur, est-ce moi ou une candeur rêveuse, peu peu cela me cueille et me fleurit, je suis une source rouge d'un bonheur confus et rude.
Je vais dans la vague du monde qui consume les éclats des joyaux et pousse irrésistiblement vers un je ne sais ou qui perce les mémoires et les intentions.
Je suis à cheval dans un galop plus fort et sans peurs.
Je grimpe une colline du soir violette et fantastique comme une contrée lumineuse de spiritualité. Et mon âme me sourit et des chats viennent tourner vers mon visage et même un être lumineux, présent comme une étoile passante visite ma peau et mon cœur dans une profusion indicible.
Le malheur si ferme dans la dureté d'ici n'efface rien de mes sensations merveilleuses, le sol est jaune, mon cheval blanc et ma tenue celle d'un chevalier sans défense et frémissant.
Je vais courir vers l'étoile qui fait ma force, je fonce avec une vigueur immédiate, des images m'oublient, je fais le malin doux qui sait les farces du monde.
Il y a bien des gens qui aspirent du fond de leur vies à faire jaillir la terre délicieuse qui nous appelle à se baigner en elle, dans la blancheur croisée des rêveries, la terre cristalline a des ressorts sacrés qui sont de nous aussi.
Je vais aussi loin que ma prose parvenue dépose en moi ce que le ciel me donne de subtils et d'enchanteurs.
Ouverture des coups de tirs, le meilleur se dessine sur le sol.
Les cœurs confus ont des feux à se faire.
Je baigne dans la bonté des intentions

dimanche 6 septembre 2015

Le passé nous trace

Il pleut. Lui il marche. Le soleil reste loin. La pluie roule sa sonorité.
La forêt est vaste. Il est grand et souple. Des bottes noires et un imperméable gris. Il a l'age de comprendre que tout s'efface. Il a l'age de ne rien oublier, quand le temps passe, il revient dans la tête...
Le chemin caillouteux est sans boue. L'eau traverse et nettoie.
Une petite maison au détour d'une clairière pose sa carrure au milieu des arbres. L'homme a trente ans. La campagne est grande. Lui, il est en vacance, il marche vite en sportif actif. La maison est atteinte. Il prend un temps et ouvre calmement la porte. Les couleurs sont pastels, le sol est d'un vieux rouge, les murs jaune citron. Les meubles sont usés, le canapé profond comme une fatigue. La lumière du jour est d'un blanc cassé et elle va bien dans cette pièce qui respire un coin du repos. L'homme est brun, imberbe et penseur. Il quitte son imperméable et le pose sur une chaise en bois. Il sèche ses mains Et avec une douceur prudente, il ouvre un tiroir. Des papiers flottent dedans, épais et fait de dégradés de blancs soyeux et de gris frais. Les yeux cherchent lentement à retrouver quelque chose qui doit être là. L'homme sort une enveloppe qui touchait le fond du tiroir.
Elle est blanche, ordinaire, immaculée. L'homme dans la lumière naturelle va dans sa couleur. Le décor du lieu est vieillot et présent comme une éternité poussiéreuse. L'homme a une veste légère et marron et un pantalon bleu. L'homme s'assoit. L'enveloppe est ouverte. L'homme regarde la lettre qu'il vient de sortir :

Cher Jeannot
Hier la ville a été bombardée. Une catastrophe. Nous allons partir. Nous ne savons ou mais ici la mort est forte. Demain nous allons au port et un pêcheur nous fera voyager. Les bombes ont tout fait trembler. Maman n'a pas eu peur mais la maison est fendue. Nous irons loin aussi tôt que possible.
Nous t'embrassons fort
Irène et Yvan
L'homme est figé et lit et relit dans une posture hypnotique cette trace du passé. L'enveloppe est récente, la lettre conservée est jaune avec une écriture violette.
L'homme dans le silence intérieur est juste là et la porte ouverte laisse la douce pluie faire du son.
Le temps est dans le songe de l'homme.
Il prend ressource d'un passé.
Et puis avec une lenteur persistante, il range tout calmement.
Il part, marche dans la pluie, toujours vite et décidé. La pluie est fluide comme lui. Il va le cœur touché, le cœur ravivé. il va appuyé d'un passé.

vendredi 4 septembre 2015

Réfugiés intérieurs

Réfugiés intérieurs, on les reconnait dehors.
Ils sont là tapent un carton en discutant dur et en buvant bien.
Ils sont là dans un coin d'ombre, sur une place délabrée ou juste poussive.
Un lieu d'abandon ou respire la vie.
Les immeubles sont solides, ils ne boivent pas, ne bougent pas. Le quartier est pauvre, sale et beau.
des sacs en plastique naviguent sur la place à coup de vent. Des bouteilles et des canettes tiennent tête au rafale.
Sont-ils étrangers ? Sont-ils réfractaires ?
Ils sont dehors comme un essai de vie. Certains ont pris le maquis hors des entreprises. La vie libre sur les routes et les champs en bordure de la circulation du monde. Certains disent que leur famille leur va une fois l'an. il y a des bagarres parce que le sang s'échauffe vite dans la rue ou se bousculent des idées arrêtées.
Dérive, flamboyance font bon ménage dans le portuaire espace ou zonent ces persécutés de la norme.
Certains sont paranoïaques, d'autres zombies avec un sourire qui fait signe comme un clignotant de bienvenue. Les yeux sont fatigués et pointus. Ils creusent le monde de leur vision claironnante.
On les voit en nombre s'assembler comme des frères hébergés par la rue. Elle leur ouvre son cœur de macadam qui aussi dur soit-il est tendre comme une sœur du sol. Ils dorment à même le cœur de leur monde dans une saison de blagues pour oublier un peu la farce de leur chute.
Certains chantent avec entêtement, alors que leur tête fredonne la force de l'alcool et les cris qui se pressent dans une retenue chaotique. Ils sont vieux d'une usure.
Sont-ils libres ?
Ils le disent, ils le vivent au milieu de mille prises qui ravagent leur impression. Ils se dandinent au bout d'un champs de mines, des histoires lourdes, des choses qui claquent en tête et brouille tout dans le déroulement.
Ils sont bloqués de ci et là comme des pénitenciers enchaînés. Ils ont des rires et des déambulations.
Ont-ils une chance ?
Il se peut, ce qu'on voie n'est qu'une image vive d'un ressort caché, on ne voie qu'un bout de cheminements.
L'intelligence n'est pas absente dans la faiblesse des situations.
Et la profondeur de chacun pris dans une tourmente collective et dans un réconfort précaire du rassemblement peut rester dans la profondeur des vies qui cherchent, cherchent....

mercredi 2 septembre 2015

Cela n'est pas grave

La vie me cadavre sans façon car la saison est aux cons.
Tout chavire dans la tambouille ou je suis bouilli depuis quelques millénaires.
Né mortel pour ne pas vivre, coincé dans mille questions.
J'avance sous la carapace de l'individu qui dit en dedans : j'existe !
Et dehors rien à dire pour tenir la raison rentrée dans son cœur moisi, épais de rancœurs et de cirages obsolètes. Le cœur noir tapis dans ma poitrine s'illustre d'à-coups qui me font vivant dans ma défaillance.
Putain la vie salope n'est pas à vendre, elle est à prendre comme la plus banale déchéance dans un virage de crachats.
rien à vendre juste un cri à jeter dans un ravin beau comme la chute du monde.
Je suis seul comme l'écorchure des sentiments et qui floppe dans l'air comme une vielle chauve souris qui meurt dans la clarté d'un temps maudit dans la cuisson recuite des espoirs de jeunesse.
Ma vie morte comme une peau délaissée va sécher sur le trottoir des habitudes sans altitudes.
Merdeux comme toute l'histoire du monde qui va durement, je tombe bien pour me briser.
Les regards sont faux comme la farce putride des liens sociaux aussi chiante qu'une déclaration politique, d'amours, de haines ou d'indifférences.
Les habits sont portés par des carcasses de vieux cramoisis qui signent des arrêts de mort à chaque respiration.
La tuerie ne s'arrêtera que dans la confusion souhaitable.
Tout est mort.